La charge et l’intensité des entraînements varient au cours de la saison pour atteindre un pic de forme au terme de sa préparation ironman.
Afin de concilier le triathlon et ma vie de famille, je me fixe un objectif « longue distance » au début de l’été pour ne faire du volume en vélo « que » sur la période allant de mi-mars à fin juin; mon volume hebdomadaire annuel tourne autour de 8h, soit 12 à 14h sur les 4 mois de la période de préparation, et autour de 6h le reste de l’année où je m’entraîne souvent à midi.
En 2014, n’ayant pas agendé un ironman début juillet, la période de préparation s’est étalée de mars à mai, pour performer au mieux au mois de juin (Troyes, Zug, Préverenges). Il s’ensuit une semaine de récupération avant de faire un gros bloc « montagne » pour préparer au mieux le triathlon de l’Alpe d’Huez fin juillet.
La répartition du volume horaire entre les trois sports varient énormément en fonction de la saison. Je « dépose » le vélo mi-septembre pour reprendre mi-février à l’exception de quelques séances de Home-Trainer, deux ou trois sorties VTT et parfois un peu de vélo de route en cas de beau temps!